L’expédition mongole de Rémi Chapeaublanc, barodeur de l’image, place l’homme et l’animal sur le même piédestal. Ses 32 portraits bruts réalisés dans un environnement originel s’affranchissent de l’ordre pré établi qui domine dans nos sociétés contemporaines. Nous sommes ici seuls juges de la limite entre divin et animal.
Dans ces contrées, hommes et animaux dépendent de liens ancestraux à la fois sacrés et nécessaires. Une relation archaïque et viscérale dans laquelle les jeux de domination équivoque questionnent. Qui ici, sont les dieux et qui sont les bêtes ? Ou plutôt, pour qui sont-ils des dieux, pour qui sont-ils des bêtes ?
Découvrez une autre facette de la Mongolie, celle où l’Homme n’a pas désacralisé la Nature !
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Chapeau bas !